Le millionnaire candidat à l’élection présidentielle américaine n’aura plus le droit de diffuser des morceaux de la chanteuse anglaise lors de ses meetings.
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Aux États-Unis, la politique se mêle sans problème à la culture du divertissement. Il est très courant de voir des personnalités politiques américaines avoir leur propre émission de téléréalité, danser avec Ellen DeGeneres à la télé ou chanter avec un groupe de pop-rock sur scène. Dans un pur souci de communication, les politiques partagent même leur “playlist” de campagne, tous les quatre ans, pour le plus grand plaisir de leurs électeurs. Mais il arrive que certains artistes ne partagent pas vraiment les idéaux des candidats qui utilisent leur musique à l’occasion de meetings politiques.
C’est le cas d’Adele, qui a interdit au candidat républicain Donald Trump de réutiliser à l’avenir, ses chansons pour animer ses rassemblements. Selon The Independent, Trump s’était permis de passer “Rolling in the Deep” et “Skyfall” lors de plusieurs de ses meetings, notamment en novembre dernier durant sa tournée dans l’Ohio. L’homme politique millionnaire n’est pas le seul visé par l’interdiction d’user de sa musique : “Adele n’a pas donné la permission pour que sa musique soit utilisée lors de campagnes politiques,” a expliqué un porte-parole de l’artiste au journal britannique. Chez Adele, on ne confond pas musique et politique.
Apparemment, Donald Trump est un immense fan de la chanteuse aux milliards de vues sur YouTube. Il a d’ailleurs assisté, en tant que spectateur, à son concert à New York, le 17 novembre 2015 . À son arrivée sur le lieu du show, la foule l’avait copieusement hué…
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