“Je vais être complètement honnête avec vous. Pour mes deux derniers albums, j’ai dû replonger. J’ai utilisé la drogue comme une béquille, un soutien. Même sur ce nouvel album [Starboy, ndlr], tu te retrouves avec le syndrome de la page blanche. Et parfois tu te sens comme… tu ne peux pas le faire sobre.”
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Le chanteur de 26 ans ajoute :
“C’est comme une évasion, parfois. Vous voyez ce qui se passe dans le monde réel et… parfois, vous vous réfugiez dans votre propre monde, dans lequel vous créez ce qu’il s’y passe.”
Mais, comme il le confie, il s’aventurait cette fois-ci dans des eaux qu’il connaissait, et desquelles il a su rester à la surface. “Je ne me vois plus faire ça maintenant“, poursuit-il. “En ce moment, je me sens sous contrôle“… Un contrôle définitif et durable ? “Je ne sais pas.“