Électeur déçu du Brexit cherche pays anglophone sympa pour recommencer sa vie.
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Le gouvernement néo-zélandais rapporte une augmentation du nombre de citoyens britanniques cherchant à s’installer dans l’archipel d’Océanie dans le sillage du Brexit.
Après les résultats du référendum, qui a vu plus de la moitié de la population britannique voter pour sortir de l’Union européenne, des milliers de Britanniques ont cherché à obtenir d’autres passeports européens, voire à tout simplement quitter le Royaume-Uni.
Parmi les endroits où les gens cherchent à soigner leur dépression post-Brexit : le Canada, l’Australie, les États-Unis et, désormais, la Nouvelle-Zélande. Peut-être est-ce le climat presque écossais de ce petit pays qui a séduit les partisans du maintien du Royaume-Uni dans l’UE.
Des représentants du gouvernement néo-zélandais ont rapporté que dans les 50 jours qui ont suivi le référendum, plus de 10 000 Britanniques avaient cherché à demander la nationalité néo-zélandaise, soit le double du chiffre habituel.
Pas de mystère à ce que le Canada ou la Nouvelle-Zélande aient séduit les électeurs déçus. Ce sont deux nations progressistes, avec des positions géopolitiques pacifistes, qui offrent une qualité de vie intéressante.
Si en plus d’être déçus par la politique de leur pays, les exilés sont fans du Seigneur des Anneaux, tout s’explique.
